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9 février 2009

cordes

voici, un petit texte que j'ai écrit à vlack, sur un thème que je lui avait donné comme devoir:

attaché régulièrement par sa Maitresse, il attend, en boxer et chemise blanche qu'elle vienne le lier.

Elle commence par lui lier les mains à un tiroir cadenassé du buffet et le fait écarter ses jambes. Il est surpris car elle lui avait promis une séance cordes, or il sait le plaisir qu'elle a de l'attacher dans des positions saugrenues, et parfois de le faire se déplacer ainsi.

pourtant elle revient avec quelques petites cordes, dont il ne se doute encore de l'utilité. Il ne tarde pas à le savoir quand elle fait claquer lesdites cordes sur son fessier.

Bien qu'il ait l'usage de la vue, ce coup l'a surpris, il s'imaginait tant être attaché. Elle lui baisse alors le boxer sans ménagement.

Il comprend maintenant que la séance cordes ne sera pas ce à quoi il s'attendait.

Les coups pleuvent sur son fessier, et bien qu'elle soit douce pour réchauffer cette zone, les cordes sont un instrument terrible car chaque douleur est appuyée et multiple.

Il tient en position, le fessier en arrière, jambes écartées, cambré. Il transpire rapidement mais ne veut la décevoir.

Ses gémissements de douleur sont assez forts, il sait que cela lui plaît, elle aime entendre son soumis souffrir.

Elle augmente d'ailleurs les coups et les espace afin que cela soit davantage douloureux. Il tient bon, mais ses gémissements se transforme en cris.

Il la sent, derrière lui, prendre plaisir à chaque douleur infligée.

Plus il a mal, plus il crie, plus elle aime. et son plaisir à Elle est sa résistance à lui.

Soudain, ce ne sont plus des petits cordes qui le fouettent, mais une main tendre qui caresse ses fesses. Il aime ce contraste de sadisme et de douceur dont elle fait preuve. Il ne se détend pas encore totalement, sachant qu'elle peut très bien reprendre par surprise.

Elle se sert cette fois des cordes pour le caresser, c'est bien moins doux que sa main, mais la caresse, venant d'elle, le fait frissonner. Elle remonte le long du dos, puis caresse la cuisse. Elle lui demande d'une voix langoureuse s'il a aimé. Il acquiesce.

"tant mieux, dit-elle, car ce n'est pas fini"....

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