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Dune
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10 février 2009

grenier

autre texte, envoyé à vlack:

Tu me suis dans le grenier. Tu sais que j'aime cette odeur de bois et que cela décuple mon imagination sadique.

Je décide de t'attacher les mains en hauteur, à une poutre de la charpente. Tu crains car cette position sert en général aux punitions, préférant t'attacher en croix pour les séances de plaisir. Tu ne comprends pas, tu n'as rien fait de mal, au contraire, tu as redoublé d'attention afin de tout faire parfaitement et me donner aucun motif de mécontentement...

Je bande tes yeux, cet acte t'angoisse davantage.

Tu m'entends trifouiller tu ne sais quoi.... Tu gémis "Madame, qu'ai-je fait?". Je te réponds par le silence. Tu es prêt à demander pardon, pour n'importe quoi, sans savoir pourquoi tu crains ce qui va se passer.

Je passe ma main nue et fraîche sur ton corps, le long de ton dos. Tu sers les lèvres, t'attendant à un coup qui viendra contraster la douceur dont je fais preuve, mais je continue ma caresse. Je passe la main sur ton fessier, et remonte, lentement. Je fais frissoner tes bras, tu commences à te détendre, restant disponible et attendant la suite, un peu déstabilisé par mon comportement.

Je passe un instrument sous ton nez, tu sens l'odeur du cuir. Tu reconnais facilement cette odeur car c'est toi qui entretiens le matériel. Je me sers de l'accessoire non pas pour te frapper, mais pour caresser avec douceur et fermeté tes fesses et tes jambes.

Tu sens quelque chose de frais couler le long de ton dos, cela te fait frissonner, tu te tortilles un peu. Je refais couler le liquide de la base de ta nuque, et la première coulée vient rafraichir la raie de tes fesses. Tu te sens en mon pouvoir, ne pouvant t'essuyer ou trop bouger. Je passe de nouveau fermement ma main sur tes fesses les empoignant pour te montrer que tu es bien à moi.

Tu sens que j'applique quelque chose de gras sur le dessus de tes levres, en fait, je m'amuse à te faire des moustaches avec du maquillage, n'étant pas douée en la matière, tu es vite ridicule.

Quelque chose de gélatineux vient se coller sur ton corps, tu ignores quelles sont les matières que j'utilise, mais je joue avec tes sensations, j'aime te mettre mal à l'aise, mais chacun de mes jeux te rappelle que tu es en mon pouvoir, que je fais ce que je veux de toi.

Tu te sens humilié et à la fois ravi, ravi d'être mon jouet, de me servir de cobaye pour l'exercice de mon imagination, tu ne souhaites rien d'autre que de continuer à m'appartenir, encore et toujours....

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