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12 février 2009

vlack 5 ... punition

J'ai revu vlack mardi.

Le matin, via internet, je lui demande ce qu'il fait l'après-midi, il me répond qu'il est disponible, je le convoque donc.
Il est fort agréable d'avoir un soumis qui peut ainsi se rendre dispo le jour même!
Je lui confie une mission, et lui demande d'acheter des pinces à linge en bois avant de me rejoindre. Je souhaite le punir car je ne suis pas satisfaite de son dernier compte-rendu, qui est arrivé en retard, et pour lequel je n'ai senti aucun effort de sa part.
Il trouve les pinces à linge après avoir fait 3 magasins me dit-il, il ne se doute pour le moment nullement de leur utilité....

J'arrive sur le quai du RER, il n'est pas là. J'appelle, son train arrive juste, il coure pour me rejoindre.
Je lui reproche, non seulement son retard, mais aussi son ton au téléphone, lui précisant que je lui ai fait apprendre mon numéro par coeur pour éviter qu'il décroche en disant "allo". Il s'excuse, comprend ses erreurs et mes reproches.
Je suis assez froide, autoritaire.

Lors de la correspondance, nous n'attendons pas le train assis sur un banc comme à l'habitude, mais je l'amène au bout du quai, là où il y a moins de monde, et lui demande s'il a ce que je lui ai demandé. Il me donne les pinces à linge, j'en sors une, et là il me dit "ha, je ne savais pas que c'était pour ça..." je sens à sa voix qu'il blêmit. Le sachant non-maso (pas encore), je sais que la punition sera vécue en tant que telle.
Je lève son pull, plaque ma main froide sur son flanc, puis fixe la pince sur son téton gauche. Je le vois grimacer mais endurer.
J'aime sa disponibilité du corps à ce moment.
Il sait précisément, car je lui ai dis, pourquoi il se trouve puni.

Je lui laisse la pince sur tout le trajet du RER et du bus, m'amusant une fois à y toucher à travers ses vêtements. Il m'avoue avoir mal.
Au dernier arrêt de bus, avant de descendre, je lui enlève. Il ne crie pas car il y a du monde, mais je sens sa douleur.
Même si la douleur nétait pas infligée pour son plaisir, j'avoue avoir aimé le sentir souffrir. Je suis décidément une femme sadique...

Je lui confie mes clés de maison, lui ordonnant de m'attendre et de m'ouvrir la porte quand j'arrive, je dois d'abord aller chercher mon fils...
La porte s'ouvre au moment opportun, parfait.

Je le fais mettre en position, et m'aperçois qu'il bouge, et qu'il triche: il prend appui sur les mains qu'il tient dans le dos. Je lui reproche.

Debout, face à face, je veux qu'il me demande pardon pour son erreur, qu'il formule cela de façon respectueuse, humble, mais surtout qu'il reste sincère.

Après une brève sortie où je testerai à nouveau qu'il tienne sa place à la marche _ il faudra en revanche que je lui apprenne à ouvrir les portes correctement _ je teste sa vitesse de frappe au clavier, en improvisant un texte qui lui plaira.

Le lendemain, j'obtiens les fruits de la punition infligée: le compte-rendu est là, bien plus dans la forme que je souhaite, je sens cette fois un réel effort de sa part.

Notre relation avance, j'aime sa motivation. Bientôt, s'il continue ainsi, il pourra m'appeler Maitresse...

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